Parce que le consentement représente le point de départ d’une relation intime partagée, réel enjeu de société, j’ai souhaité réunir 600 jeunes lycéens du pays de Pontivy pour assister à un procès fictif pour viol, avec le concours de Polymnia qui a animé les débats.
Le contexte du procès : une jeune fille et un jeune homme, une soirée festive, une absence de consentement, des gestes irrespectueux et la situation qui dérape…
J’ai pu rappeler à cette occasion les notions de liberté (art 4 de la déclaration des droits de l'Homme et du citoyen) : « La liberté consiste à pouvoir faire tout ce qui ne nuit pas à autrui » et de consentement « Le consentement implique que la personne doit être capable de donner son accord ».
Aurore Bergé, ministre déléguée chargée de l'Egalité entre les femmes et les hommes et de la lutte contre les Discriminations, a participé à cet évènement et a défendu l’idée de faire figurer dans le code pénal la notion de consentement pour la rendre plus explicite dans ce contexte des relations sexuelles.